dimanche 25 mai 2014

A NOUS LES ENFANTS DE LA VEUVE !


A nous les enfants de la Veuve !

DECLARATION OFFICIELLE DE LA GUILDE DES BLOGGUEURS MACONNIQUES.


Nous, blogueurs et blogueuses maçonniques francophones,
Nous, qui passons une partie de notre temps au service des autres,
Nous, qui le faisons sur notre temps de repos, au détriment parfois de notre vie privée,
Nous, les simples poseurs de mots bénévoles,

Nous affirmons ici tout notre soutien sans faille à notre frère Noé Lamech, dont le seul tort est d’avoir toujours été un frère libre et de bonnes mœurs.
Nous ne sommes pas toujours d’accord et parfois, ce n’est pas un vain mot, mais nous ne franchissons jamais la ligne rouge ; nous ne trahissons pas les engagements solennels auxquels nous avons souscrits lors de nos obligations.
Nos sites ne sont pas concurrents, ils sont complémentaires.
Nos erreurs nous enrichissent, nos victoires, nous les minorons.
Mais nous ne pouvons tolérer d’abdiquer nos idées, nos valeurs et tout ce que notre initiation nous a apporté, pour de sombres raisons d’argent qui ne peuvent conduire, en l’occurrence, qu’au déshonneur et à la honte.
Nous ne pouvons donc que regretter, avec tristesse et colère, l’agression portée contre notre frère Noé Lamech, qui a conduit à la fermeture prématurée de son blog Gadlu.info.
Toutefois, nous, blogueuses et blogueurs, sœurs et frères, réunis par le lien fraternel et dans le respect mutuel, ne sommes pas une force d’attaque contre celui qui a porté le coup fatal. Nous.
Non, nous sommes des blogs indépendants, réunis par le respect mutuel qui nous anime.
Ceci n’est pas un procès, mais bien l’affirmation d’une ligne de conduite. Celle de la fraternité que véhicule la franc-maçonnerie. Frères et sœurs réunis.
Car certains font le pari d’accepter la présence de l’autre, sa différence, sa complémentarité. Ceux-là sont à protéger et chérir. Noé Lamech, que nous aimons parce qu’il est notre frère, est un de ceux-là.
Si la Franc-maçonnerie francophone est parfois turbulente, le web maçonnique est, bien sûr, à son image. Et dans un contexte obédientiel d’oppositions parfois vives, il reste, à l’Orient, une lueur d’espoir.